Mouvements racistes

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Un certain nombre de mouvements politiques prônent dans le monde la suprématie de groupes ethniques ou de certaines races supposées sur d'autres[1],[2]. En Europe et en Amérique du Nord, ce sont par exemple des groupes néonazis se réclamant d'Adolf Hitler ou encore le Ku Klux Klan, qui agit aux États-Unis et prône la suprématie de la « race blanche »[3].

Europe

Ces dernières années[Lesquelles ?], des mouvements européens mettent en avant une autre considération : l'ethno-différencialisme. Cette idéologie prône la séparation entre les différentes ethnies et défend le concept de nation « ethniquement pure », en l'occurrence l'idée d'une Europe ethniquement pure, débarrassée des populations juives, arabes, noires ou jaunes. Ou parfois aussi une « Europe du Nord » (germanique et celtique) ethniquement séparée d'une « Europe du Sud » (gréco-latine).

Allemagne

Articles détaillés : Parti national-démocrate d'Allemagne et nazisme.

France

La plupart des partis et mouvements politiques français d'extrême droite ont été accusés de véhiculer des discours racialistes voire racistes. En raison de la connotation très négative du mot, peu d'entre eux se revendiquent ouvertement comme tels et la plupart s'estiment victimes d'une confusion entre la problématique du racisme et celle de l'origine ethnique.

Des dirigeants de ces partis ont cependant été condamnés pour propos racistes. À quelques reprises, l'usage de cette accusation dans des articles de presse a valu des condamnations judiciaires à leurs auteurs. En effet, dès lors que le racisme est considéré par les lois comme un délit, l'allégation de racisme devient ipso facto diffamatoire - voire calomnieuse si on ne peut l'étayer de faits extrêmement précis.

En France, certains groupes sont accusés de faire partie de ce type de mouvement[réf. nécessaire]:

D'autres partis politiques n'étant pas reconnu comme d'extrême droite ont toutefois aussi été accusés de discours à caractère raciste.

États-Unis

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Russie

Notes et références

  1. Pierre Bosset, « Les mouvements racistes et la Charte des droits et libertés de la personne », Les Cahiers de droit, vol. 35, no 3,‎ , p. 583–625 (ISSN 0007-974X et 1918-8218, DOI 10.7202/043295ar, lire en ligne, consulté le )
  2. Net Oxygen Sàrl (http://netoxygen.ch), « Montée des partis et mouvements politiques racistes et xénophobes | » (consulté le )
  3. « Ces groupes qui prêchent la haine raciale - Le Temps », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

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