Maurice Lapalud

Maurice Lapalud
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Fonctions
Gouverneur de Côte d'Ivoire
-
Gouverneur de La Réunion
-
Henry Cléret de Langavant (d)
Jules Repiquet (d)
Gouverneur des établissements français de l'Inde (intérim)
jusqu'en
Gouverneur général de l'Afrique-Équatoriale française
-
Gabriel Angoulvant
Jean-Victor Augagneur
Gouverneur du Gabon
-
Georges Thomann
Biographie
Naissance
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Miliana (Algérie française, Second Empire)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
(à 66 ans)
Alger (Algérie française, France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Maurice Pierre LapaludVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Distinctions

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Maurice Lapalud, né le à Miliana en Algérie et mort le [1], est un administrateur colonial français.

Biographie

Après occupé divers postes dans l'administration coloniale au Maroc,à Madagascar, à La Réunion, au Congo et en Inde, il est nommé gouverneur du Gabon en 1918 et gouverneur de Côte d'Ivoire entre 1925 à 1930[2], en remplacement de Raphaël Antonetti. Après avoir fait fonction de gouverneur général de l'Afrique-Équatoriale française en 1920, il occupe au préalable le poste de gouverneur de La Réunion du 22  août 1923 au 2  octobre 1924. Il amorce les travaux de la route de Cilaos et est à l'origine de l’École du droit[3].

Il est remplacé à Abidjan par Jules Brévié. Une place d'Abidjan porte son nom[4].

Bibliographie

  • Marcel Souzy, Les coloniaux français illustres, Paris, B. Arnaud,

Notes et références

  1. Relevé généalogique sur Geneanet
  2. Avec un intérim de Maurice Bourgine en 1927-1928.
  3. Le Peuple, quotidien réunionnais, du 10 juin 1935 : Petites nouvelles sur Gallica
  4. D'autres administrateurs coloniaux ont aussi laissé leur nom à un monument, une ville, un quartier ou une rue du pays : Boulevard Angoulvant, Boulevard Clozel, Boulevard André Latrille, Bingerville, Treichville. On peut aussi citer le cas de Pierre Savorgnan de Brazza puisque le Congo a conservé le nom de Brazzaville pour sa capitale. Au Tchad, la ville originellement appelée Faya est renommée Largeau d'après le nom du colonel Étienne Largeau lors de la colonisation. Quand le Tchad recouvre l'indépendance en 1960, la ville prend son nom actuel de Faya-Largeau

Articles connexes

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • BnF (données)
    • IdRef
  • Aux origines de la nation ivoirienne, ouvrage de René-Pierre Anouma, consulté le .
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