Cercle français de l'eau

Cet article est une ébauche concernant l’industrie et l’environnement.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Cercle français de l'eau
Histoire
Fondation
Voir et modifier les données sur Wikidata
Cadre
Pays
 FranceVoir et modifier les données sur Wikidata
Coordonnées
48° 52′ 24″ N, 2° 18′ 20″ EVoir et modifier les données sur Wikidata
Organisation
Président
Pierre VictoriaVoir et modifier les données sur Wikidata
Personnes clés
Sophie Auconie (vice-président (d))Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
www.cerclefrancaisdeleau.frVoir et modifier les données sur Wikidata
Carte

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Le Cercle français de l'eau est une association française qui regroupe autour de partenaires institutionnels et commerciaux des élus locaux et nationaux, et qui se veut une structure de réflexion et de proposition.

Gouvernance

Créé en 1990, le Cercle français de l'eau entend défendre « les principes fondateurs de la politique française de l’eau : décentralisation des décisions, responsabilisation des territoires, efficacité des acteurs, solidarité au sein des bassins hydrographiques auprès de l’Union Européenne et des institutions internationales »[1].

Ses membres regroupent notamment des élus de l'Association des maires de France et de l'association des régions de France, mais également des représentants de la FNSEA, des Comités de bassin, et de la Fédération professionnelle des entreprises de l’eau[2].

Sophie Auconie. députée UDI d'Indre-et-Loire est coprésidente du Cercle français de l'eau[3],[4].

Pierre Victoria, directeur du développement durable de Veolia, est le délégué général du Cercle français de l’eau[5].

Communication

Le CFE organise débats et colloques[6], dont certains se tiennent au Parlement[7].

Activité de lobbying

Pour l'année 2017, le cercle français de l'eau déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n'excède pas 75 000 euros[8].

Financement

Selon Marc Laimé, les ressources du Cercle français de l'eau proviennent de Veolia, de la fédération des entreprises de l'eau et de EDF[7].

Notes et références

  1. « CFE  » LE CFE », sur www.cerclefrancaisdeleau.fr (consulté le )
  2. « CFE  » ÉQUIPE ET MEMBRES », sur www.cerclefrancaisdeleau.fr (consulté le )
  3. Morgan Boedec, « Fonds européens : vers plus de fluidité dans le secteur de l'eau », sur www.caissedesdepotsdesterritoires.fr, (consulté le )
  4. Olivier Petitjean, « Sous Macron, Veolia et le lobby de l'eau plus influents que jamais », Observatoire des multinationales,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « « Les Echos Business » lancent les Trophées du leader responsable - Les Echos », sur business.lesechos.fr, (consulté le )
  6. Laurent Radisson, « Le financement de la politique de l'eau doit-il reposer sur la seule facture d'eau ? », Actu-Environnement,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. a et b Gaétan Supertino, « La politique de l'eau noyée par des lobbys ? », Europe 1,‎ (lire en ligne)
  8. « Fiche Organisation « Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », sur www.hatvp.fr (consulté le )

Voir aussi

Lien externe

  • Site officiel
  • icône décorative Portail de l’eau
  • icône décorative Portail de l'assainissement
  • icône décorative Portail de la France